Bon.
Quand j'ai fini de cuver ma fatigue et ma tristesse, je reviens, d'accord?
Ce jour-là
1- je me serai remise à dessiner des choses vaguement intéressantes
2-j'arrêterai de me prendre au sérieux et de raconter ma vie sur un ton larmoyant lyrico-vibrant nunuche et (je le suppose) insupportable.
En attendant je reste dans mon coin. J'attends.
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3 commentaires:
Je ne suis pas certain qu'il faille se laisser le temps d'être triste et fatigué! ;p
Je me laisse pas le temps pour ça; j'attends juste que ça passe... Et que "quelque chose" se passe.
Comme j'ai un peu le moral qui fait les montagnes russes (avec une curieuse préférence pour les profondeurs abyssales), je récupère... Je me reconstruis, un peu (dieu que ça fait prétentieux, ce que j'écris, j'aime pas)...
faut que j'arrête vraiment de me poser des questions et que je m'autorise des trucs. u_u
Oui, mais... tu oublies les fans de ton blog et de toi, qui souffrent de ne lire qu'un article tous les deux mois, et qui t'aiment dans les hauteurs comme dans les profondeurs... (ça rime, t'as vu ?!)
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